« … Non. Non, non non. Vous ne préférez pas appeler une autre brigade de la milice ? Ou… juste, quelqu’un d’autre ? Vous pourriez vous en occuper vous-même, enfin ! Vous savez comment sont les pacificateurs. Ils vont mettre mon échoppe sens dessus-dessous et briser tous mes articles sur leur passage. Je préfère que ces deux ivrognes se fracassent le crâne sur mon comptoir, j’aime autant vous le dire ! Pff. Les « pacificateurs »… Et puis quoi encore ? Chaque fois qu’ils foulent le plancher d’un abri, il faut qu’ils saccagent absolument tout. Au nom de la « justice », disent-ils. Bah tiens ! On aura tout entendu. Violents, absolument répugnants, cette brigade est infernale. La pire d’entre toutes, vous le savez comme moi. Écoutez, il paraît même que les apprentis soldats prient pour ne pas y être affectés. Tout est toujours question de coups et de cris avec eux ; que dis-je, de sang. Tenez, regardez-le, lui, là-bas ! Il s’est fait cogné et envoyé au mitard pour une pomme volée. Par qui, je vous le demande ? Exactement, les « pacificateurs ». Je vous préviens, si vous les appelez, je vous dénonce aussi. Ce n'est pas une brigade, mais une bande de malfrats qui prennent plaisir à écraser les plus faibles. Ils n'ont aucun cœur. De plus, ils feraient fuir ma clientèle... »
« … Non. Non, non non. Vous ne préférez pas appeler une autre brigade de la milice ? Ou… juste, quelqu’un d’autre ? Vous pourriez vous en occuper vous-même, enfin ! Vous savez comment sont les pacificateurs. Ils vont mettre mon échoppe sens dessus-dessous et briser tous mes articles sur leur passage. Je préfère que ces deux ivrognes se fracassent le crâne sur mon comptoir, j’aime autant vous le dire ! Pff. Les « pacificateurs »… Et puis quoi encore ? Chaque fois qu’ils foulent le plancher d’un abri, il faut qu’ils saccagent absolument tout. Au nom de la « justice », disent-ils. Bah tiens ! On aura tout entendu. Violents, absolument répugnants, cette brigade est infernale. La pire d’entre toutes, vous le savez comme moi. Écoutez, il paraît même que les apprentis soldats prient pour ne pas y être affectés. Tout est toujours question de coups et de cris avec eux ; que dis-je, de sang. Tenez, regardez-le, lui, là-bas ! Il s’est fait cogné et envoyé au mitard pour une pomme volée. Par qui, je vous le demande ? Exactement, les « pacificateurs ». Je vous préviens, si vous les appelez, je vous dénonce aussi. Ce n'est pas une brigade, mais une bande de malfrats qui prennent plaisir à écraser les plus faibles. Ils n'ont aucun cœur. De plus, ils feraient fuir ma clientèle... »
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