Venez et écoutez ma chanson ! Les portes s’ouvrent, citoyens !
Au crépuscule doré, les portes s'écartent,
Révélant un monde où l'amusement éclate.
Pas de distinctions, ni de barrières,
Tous sont conviés, la liesse sincère.
Dans la vieille cité aux murs de pierre,
Les portes s'ouvrent, la joie s'installe, lumière éphémère.
Venez, amis, venez tous, sans frontière,
À la fête qui chante l'aventure sincère.
Les rires s'entrelacent comme des lianes,
Les cœurs dansent au rythme des refrains.
Peu importe la provenance, la couleur de la bannière,
Ici, l'amour et la gaieté sont les seuls repères.
Les tavernes résonnent des contes du passé,
Où les portes closes étaient légendes égarées.
Maintenant, les portails s'ouvrent sans retenue,
Pour célébrer l'instant, la joie dans le jeu.
Que les troubadours jouent et que les danseurs virevoltent,
Les échos de la fête dans les ruelles révoltent.
Chacun apporte son rêve, sa chanson singulière,
Les portes restent ouvertes, laissant place à la lumière.
Que cette mélodie résonne dans le temps,
Ode à l'ouverture, à l'amour, à l'instant.
Que la cité demeure toujours une terre,
Où les portes restent ouvertes pour tous les cœurs sincères. »
Le barde termine sa chanson par une révérence.
Les portes sont ouvertes, les amis.
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